Pour qui ?
La méthode s’adresse à des personnes qui souffrent de cicatrices inesthétiques, rouges (mais pas inflammatoires c’est-à-dire chaudes), gonflées ou boursoufflées, peu élastiques.
Pour quoi ?
- J’ai des cicatrices après une chirurgie esthétique, par exemple une reconstruction mammaire,
j’en suis à trois semaines au moins de l’intervention, j’ai envie qu’elles soient belles et élastiques.
- J’ai des cicatrices adhérentes, par exemple de césarienne, de curetage ganglionnaire, d’un
accident, j’en suis à plusieurs mois après l’intervention. Ça me gène dans certains mouvements.
- Je préfère que ce soit une personne plutôt qu’une machine qui s’occupe de ma peau. J’ai peur
d’avoir mal, elle pourra adapter son geste !
Comment se passe une séance ?
Après un échange sur les circonstances qui ont généré la ou les cicatrice(s), je vérifie qu’il ne s’agit
pas d’un problème médical. J’effectue alors des manœuvres cutanées sur la zone dénudée, pour
donner des informations au corps. Par boucle réflexe, elles vont permettre la régularisation
nécessaire. Ces manœuvres vont solliciter le tissu, libérer les adhérences et permettre ainsi une
meilleure réparation tissulaire donc une esthétique retrouvée !
Combien de séances ?
Il faudra compter un minimum de 10 séances de 30 min pour que vous constatiez les bienfaits, d’autant plus si
la cicatrice est ancienne. Le rythme est d’une par semaine au début, et peut s’espacer à tous les
quinze jours ensuite.
Témoignage de madame L (novembre 2022):
" Après ma reconstruction mammaire en août 2021, j’ai choisi de venir voir madame Sentenac
parce que je n’avais pas envie de manœuvre impersonnelle comme le LPG.
Je voulais quelqu’un qui soit présent, avec qui on pouvait discuter (et oublier le côté désagréable
des manipulations).
Madame Sentenac sait adapter son geste suivant mes sensations, aller là où je n’irais pas toucher
seule, et m’encourager à moi-même prendre soin de mes cicatrices, de mon corps.
Au bout de 14 séances (en 10 mois) le résultat était au rendez-vous, même ma chirurgienne n’en
revenait pas ! "